Dans le cadre de notre voyage en Ouzbékistan, nous avons décidé de visiter la mer d’Aral en plus des villes historiques de Boukhara, Khiva et Samarkand. La diminution de la mer d’Aral est une crise mondiale connue et nous avons estimé qu’il était essentiel d’explorer la région si nous le pouvions.
Au cours de notre visite en mer d’Aral, nous avons découvert que la région était bien plus que la mer du même nom. De l’histoire ancienne de la Route de la soie, traditions du Khorezm et du Karakalpakstan, industrie de la pêche et culture du coton, de nombreux éléments dont nous n’avions jamais entendu parler auparavant!
Voici notre voyage de 3 jours à la mer d’Aral – à vous de découvrir!
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Où est la Mer Aral?
La mer d’Aral (Aral Sea) est située en Asie centrale, entre le Kazakhstan et l’Ouzbékistan.
La partie ouzbèke se situe dans le Karakalpakstan; région autonome et appelée Grande Aral. La partie kazakhe est connue sous le nom de Petite mer d’Aral.
Mer Aral: Disparition
Jadis le quatrième plus grand lac du monde, la mer d’Aral s’est rétrécie depuis les années 1960. Pourquoi est-ce que la mer d’Aral rétrécit? La raison principale est le détournement continuel de l’eau de la rivière Amou Daria pour des projets d’irrigation pendant l’ère soviétique. L’objectif était de développer l’agriculture dans le désert, avec de nouveaux champs de melons, de riz et de coton.
La production de coton fut doublé entre 1960 et 2000; l’Ouzbékistan devenant le premier exportateur mondial de coton en 1988. Cependant, le coton est une culture qui nécessite beaucoup d’eau, ce qui conduit à la surexploitation du fleuve et au rétrécissement de la mer d’Aral.
Mer Aral: Evolution
Le secteur de la pêche à l’époque florissant dans le bassin a disparu avec l’assèchement de la mer d’Aral. Un port maritime comme Muynak (Moynaq / Moinak / Moynac), qui employait jusqu’à 30 000 personnes, se trouve maintenant à environ 100 km des rives de la mer d’Aral.
Au-delà de l’impact sur le secteur de la pêche en mer d’Aral, la désertification du bassin génère des tempêtes de poussière et la situation écologique s’est détériorée. Ces tempêtes transportent du sel en Asie centrale et jusqu’en Europe, endommageant les cultures et les sources d’eau et créant des problèmes de santé tels que les maladies respiratoires.
Mer Aral: Restoration
Pour inverser le processus d’assèchement de la mer d’Aral, les pays touchés ont mis plusieurs projets en place au fil, avec plus ou moins de succès.
Le Kazakhstan a construit son barrage de Kokaral sur la mer d’Aral en 2005. Depuis son achèvement en 2008, le niveau de l’eau a augmenté et le poisson est revenu dans la Petite mer d’Aral.
L’Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et le Turkménistan ont déployé des efforts en faveur de programmes de développement du bassin de la mer d’Aral en 1984. Toutefois, il est apparu qu’un manque d’engagement de la part des pays et une consommation accrue d’eau par les populations locales ont empêché le programme de réussir. L’ un des projets en cours en Ouzbékistan comprend la plantation d’arbustes spécifiques pour limiter la désertification.
Circuit Ouzbékistan: 3 Jours en Mer d’Aral
Étant donné que la mer d’Aral se rétrécit rapidement (environ 1 mètre par mois), nous avons décidé de visiter la région dans le cadre de notre voyage en Ouzbékistan. Le bassin de la mer d’Aral est un peu hors des sentiers battus et la meilleure option pour le visiter ést en tour organisé. Nous nous sommes associés à Advantour et avons quitté Noukous (Nukus) pour une visite de trois jours de la mer d’Aral.
Si le but de notre visite était à l’origine pour la mer d’Aral, la région est riche en histoire, dont la fameuse Route de la Soie. Nous avons beaucoup appris sur la mer d’Aral, la migration de la population dans les temps anciens, jusqu’à la République du Karakalpakstan existante de nos jours.
Nous avons pris l’avion de Tachkent, la capitale de l’Ouzbékistan, à Noukous, mais notre avion est parti avec environ deux heures de retard. L’itinéraire de notre excursion autour de la Mer d’Aral a changé par rapport aux plans originaux pour compenser ce retard. Voici notre tour en détails jour par jour.
Jour 1: Noukous, Plateau d’Oust-Ourt, Lac Barsakelmes, Lac Sudochie, and Komsomolsk
Après nous avoir pris à l’aéroport de Nukus, notre guide Kamol et notre chauffeur Viktor nous ont conduits dans un hôtel local pour l’enregistrement. Un incontournable en Ouzbékistan où tous les voyageurs doivent enregistrer leur séjour et disposer d’un bulletin d’inscription pour une troisième nuit.
Noukous est la capitale du Karakalpakstan et est connue pour son musée d’art, le Nukus Museum of Art. Le nom « Karakalpak » provient de deux mots: « qara » signifiant noir et « qalpaq » désignant un chapeau. Karakalpakstan est habité par les Karakalpaks, un groupe ethnique turc du nord-ouest de l’Ouzbékistan.
Notre chauffeur nous a fait traverser le plateau d’Oust-Ourt, un désert caillouteux qui sépare la mer d’Aral de la mer Caspienne. Le plateau est également considéré comme la frontière entre l’Europe et l’Asie Centrale.
La longue route nous conduits au Salt Lake Natural Saltpit de Barsakelmes, un grand lac salé. Des nuances de bleu, de rose et de blanc définissent le lac, qui est exploité pour son sel presque pur.
Notre prochaine étape était le lac Sudochie. Anciennement d’eau douce, le lac est devenu de moins en moins profond, et de plus en plus salé. Les gens ont abandonné les villages voisins, le poisson est devenu moins abondant, bien que des apports en eau remplissent parfois le lac et empêchent la disparition complète des poissons et des oiseaux migrateurs. Quelques anciens phares faits de briques de boue et disséminés le long des anciennes rives étaient utilisés pour aider les pêcheurs à retrouver leur chemin. Le lac Sudochie fut l’un des points forts de notre Ouzbékistan voyage, car nous étions arrivés juste à temps pour le coucher du soleil qui illumina des milliers de petites îles aux herbes. Les températures froides du mois de novembre avaient gelé plusieurs parcelles du lac, créant de superbes reflets sur l’eau. Nous avons adoré ces moments, regardant le coucher de soleil éclairer lentement le lac de traînées roses et rouges.
Nous nous sommes rapidement dirigés vers une colonie russe et polonaise abandonnée de l’ère stalinienne. En raison de notre départ tardif, nous étions arrivés au crépuscule et n’avions pas passé beaucoup de temps sur ce site. Cependant, nous pouvions voir les ruines d’un hôpital, de maisons et d’une ancienne usine de poisson. Aujourd’hui, une maison de pêcheurs est encore debout, les vestiges tristes de l’ancienne gloire.
La nuit tombait rapidement lorsque nous sommes arrivés à la colonie de Komsomolsk, où nous avons séjourné dans une famille d’accueil locale. De la mi-mars à la mi-novembre, la nuit se passe généralement au camp de yourtes au bord de la mer d’Aral. Mais ces camps ferment pour l’hiver lorsque les températures descendent en dessous de zéro. Nous avons passé une nuit confortable dans notre famille d’accueil, une famille kazakhe de la région travaillant dans les usines à gaz qui forent actuellement les fonds marins de la mer d’Aral asséchée.
Jour 2: Komsomolsk, Caravanserai du Kurgancha Kala, Cimetière Kazakh, et Moinak
Nous nous sommes levés à 6 heures du matin pour rejoindre admirer le lever du soleil de la mer d’Aral, à environ une heure et demie du village. Cependant, un épais brouillard hivernal rendait la visibilité impossible. En descendant dans le fond marin asséché de la mer d’Aral, nous avons finalement atteint le rivage maintenant à environ deux kilomètres de ses rives originels. Quel moment sobre, quand nous avons réalisé de nos propres yeux la distance perdue avec le rétrécissement de la mer d’Aral.
Kamol pointa la partie sombre et humide entre l’eau et la terre sèche. La section de 9 mètres était une section qui avait rétréci récemment en seulement sur 8 mois. Tandis que mon regard se posait sur la rive d’origine deux kilomètres plus loin, la triste réalité de l’assèchement de la mer d’Aral ne pouvait être plus apparente. Marcher sur le rivage était émouvant, enjambant des centaines de coquillages morts.
Une longue journée devant nous jusqu’à Moynac, nous avons conduit à côté de l’ancien Kurgancha Kala, un caravansérail du 10-12ème siècle et une forteresse de la période de la Route de la Soie. Même si le brouillard persistait et limitait la vue autour des ruines, me tenir au-dessus de la vieille structure me donnait la chair de poule. Imaginant des marchandises et des gardes armés, des chameaux chargés de soie et d’épices, les sons, l’odeur, les couleurs retrouvées à l’époque de la Route de la Soie étaient si excitants.
Nous avons poursuivi notre route en empruntant le plateau d’Oust-Ourt et avons traversé plusieurs cimetières kazakhs des 16 et 17e siècles. Ces familles kazakhes avaient fuit la famine au Kazakhstan à la recherche de meilleures conditions de vie. En arrivant dans le région désertique de la mer d’Aral, la situation n’était guère meilleure et beaucoup moururent en cours de route. Kamol mous montra les différents symboles sur les pierres tombales: ici un cercle, une flèche. Chaque famille avait son cimetière et chaque clan avait son propre symbole. Deux pierres tombales étaient écrites en arabe, écriture utilisée en Ouzbékistan jusqu’à l’arrivée des Russes en 1920.
Laissant le plateau Oust-Ourt derrière nous, nous avons traversé le fond marin maintenant à sec de l’Aral pendant environ quatre heures. Viktor, notre chauffeur, démontra encore une fois sa connaissance du terrain. Sans carte réelle, ni panneaux routiers, ni GPS, Viktor savait exactement où tourner. Il a indiqué en rigolant que sa tête était comme étant son GPS et nous croyons sincèrement qu’il était un GPS ambulant!
Nous sommes arrivés à notre maison d’hôtes à Muynak (Moinak) vers 16 heures, sous un magnifique ciel bleu. Fatigués après une longue journée, nous nous sommes réchauffés autour d’un fond de thé, de pain frais et de cerises. Nous avons dîné dans un traditionnel Beshbarmak, un plat ouzbek recommendé. Une jolie chambre, un lit confortable et des couvertures épaisses étaient les conditions idéales pour se remettre du lever du soleil.
Jour 3. Moinak, Mizdakhan, Gaur Kala et Noukous Ouzbékistan
Un autre matin brumeux nous attendait et nous avons décidé de visiter d’abord le musée local, en espérant que le temps s’éclaircisse avant le Cimetière des Navires.
Le musée d’histoire régionale et de la mer d’Aral est un petit musée local présentant des éléments culturels de la République du Karakalpakstan, qui est l’état moderne de l’ancien empire Khorezm. Couvrant l’ancienne culture des pêcheurs nomades et l’industrie de la pêche du début du XXe siècle, ainsi que la crise environnementale actuelle de la mer d’Aral, les petites expositions et la vidéo fournissent des informations intéressantes sur la mer d’Aral. L’un des éléments les plus frappants est une carte de la mer d’Aral montrant des comparaisons au fil des années écoulées depuis 1960.
Le brouillard n’avait pas encore disparu au moment où nous avons atteint le Cimetière de Bateaux, mais la visite du site est un passage obligé en mer d’Aral. Là où se trouvait autrefois un port de pêche achalandé, seuls onze navires abandonnés et rouillés sont maintenant sur des terrains sablonneux, à environ 40 mètres au-dessous de ses anciennes rives. Là où la vie marine prospérait, il ne reste plus que du sable et des arbustes secs.
Marcher parmi les anciens navires de la mer d’Aral fut une nouvelle expérience émouvante. Deux des plus gros bateaux sont un peu plus éloignés, couchés sur leurs coques, entourés de dunes et un bien triste substitut aux vagues d’origine.
En rentrant vers Noukous, nous nous sommes arrêtés à la nécropole de Mizdakhan, un cimetière datant du IVe siècle avant J.-C. au XXe siècle de notre ère. Premier site important pour le temple du feu des Zoroastriens dès le IVe siècle av. J.-C., Mizdakhan devint un lieu révéré pour les musulmans d’Asie centrale.
La ville voisine, Noukous, signifie en réalité « le pays des pèlerins ». Plusieurs mausolées impressionnants, les ruines d’une mosquée et des tombeaux s’étalent sur les trois collines qui composaient la nécropole. Mizdakhan a été un autre point fort de cette visite de la mer d’Aral, totalement inattendue et incroyable.
Le plan était de terminer la visite avec la forteresse Gyaur-Kala du 4ème siècle. Cependant, le terrain boueux menant au fort et le fait qu’un local ait mis du verre brisé sur la seule route praticable nous ont empêché d’en visiter les vestiges.
Nous sommes rentrés à Noukous, nous nous sommes arrêtés à l’hôtel pour récupérer nos bulletins d’inscription. Cela conclut notre voyage, où nous avons remercié Kamol et Viktor pour leur connaissance approfondie de la culture et de la région.
Voyage Ouzbékistan: Quand partir et visiter la mer d’Aral?
Le printemps et l’automne (avril – mai, et septembre – novembre) sont les meilleures saisons pour voyager en Ouzbékistan. L’ été peut être torride et l’hiver incroyablement froid en raison des forts vents glacés.
La mer d’Aral suit les mêmes régimes météorologiques, avec des extrêmes. Le paysage désertique rend les mois d’été encore plus chauds, et les vents d’hiver à des températures négatives vous gèleront sauf si vous portez des vêtements d’hiver épais. L’hiver peut également apporter un brouillard épais le matin, mais les après-midi peuvent être ensoleillés et clairs.
Au printemps, le désert fleurit, recouvrant les sols de couleurs rouge, jaune, orange et autres. À la fin de l’été (septembre), les eaux de la mer d’Aral sont suffisamment chaudes pour y flotter. Jusqu’en octobre, la région voit du bétail brouter les plantes du désert: vaches, chameaux, ânes, et chevaux.
Comment organiser votre visite de la mer d’Aral
Visite indépendante ou organisée?
Vous pouvez explorer la mer d’Aral par vous-même, jusqu’à un certain point. Même si nous sommes des voyageurs indépendants dans l’âme, nous apprécions les avantages des circuits organisés lorsque le transport est inexistant. La mer d’Aral est l’une de ces occasions.
Voyageur Indépendant
- Prenez un taxi partagé entre Noukous et Muynak. Ces voitures partent de 9h, 12h et 15h. Ils ont tendance à être surpeuplés. Les taxis aller-retour partent de Muynak à partir de 6 heures, 9 heures et midi.
- Essayez de trouver un taxi à Muynak qui pourrait vous emmener jusqu’au bord de la mer d’Aral. Ce trajet est long et nécessite une personne connaissant le chemin parcourant le fond marin d’Aral et le plateau d’Oust-Ourt.
- En plus de trouver le moyen, savoir où trouver les sites et leur signification est essentiel, car ni informations ni indications ne sont disponibles sur place.
Coûts: D’après nos informations, la location d’une voiture avec chauffeur coûte déjà 500 USD. La raison des coûts? Il y a environ 900 km entre Muynak et le rivage de la mer d’Aral. Ajoutez les coûts pour la nourriture et le logement du conducteur, et les coûts supplémentaires pour le carburant. Un guide coûtera environ 40 USD / jour, mais nécessitera également des frais supplémentaires pour la nourriture et le logement.
Voyage Organisé
Compte à partir de 350 USD par personne et par jour, en fonction de la durée du voyage et du nombre de personnes partageant la voiture.
Lorsque vous mettez en place les coûts d’un voyage indépendant, les coûts d’un voyage organisé ont un sens. Pour nous, l’avantage positif d’une visite était un guide compétent qui pouvait expliquer ce que nous voyions. La mer d’Aral n’est pas une destination très connue et il peut être difficile de trouver des informations. Un guide local expert en histoire locale est obligatoire pour apprécier votre visite de la mer d’Aral.
Advantour, Expert Asie Centrale Expert
Parmi tous les guides que nous avons rencontrés, Kamol était de loin le plus compétent. Aucune question n’a été laissée sans réponse, aucun détail assez petit. Sans lui, nous aurions pu profiter des sites et de l’histoire du bassin de la mer d’Aral et nous n’aurions jamais autant appris sur le Karakalpakstan et l’ancien Khorezm – des noms que nous n’avons même jamais entendus avant de rencontrer Kamol.
En ce qui concerne Viktor, outre sa connaissance approfondie du terrain, il a même dormi dans la voiture une nuit, craignant que le gel ne l’empêche de démarrer la voiture à temps pour le lever du soleil le lendemain. S’il ne s’agit pas de fournir la meilleure expérience à leurs clients, je ne sais pas ce que c’est.
Il n’est donc pas surprenant que nous recommandions Advantour comme partenaire pour explorer la mer d’Aral et tout circuit en Ouzbékistan en général. La société, créée en 2003, possède même des bureaux dans Asie Centrale et au Caucase d’où ils organisent des visites en petits groupes des villes et pays le long de l’ancienne Route de la Soie.
Où Dormir?
Hotel Tachkent
Si comme nous, vous prenez l’avion au départ de la capitale Ouzbèke, vous passerez certainement une nuit à Tachkent. Nous recommendons sur Topchan Hostel – très propre, un petit-déjeuner copieux, et des gens super serviables et prêts à aider pour toute question. Douche très chaude, et bonne Wifi. Lits en dorm et chambres privées sont disponible.
Bien sur, Tachkent offre d’autres logements et hotels, de petit-prix à hotels de luxe.
Hotel Noukous
Il y a peu d’hotels dans cette ville, et ceux-ci sont assez chers.
- Hotel Art Hotel. Propre, situé dans une ruelle calme au croisement de Uzbekistan Avenue et Ukzbekistanskaya. Les chambres sont dans les US$20 pour une chambre double avec salle de bain privée. Eau chaud, et Wifi. Le gérant Kvanish parle un peu l’anglais. Contacts: par texte au +998612224646, ou par email: [email protected].
- Hotel Nukus offre des lits en dorm en sous-sol pour US$10 par lit et par nuit.
Voyage Ouzbékistan: Conseils pour la mer d’Aral
- Soyez prêt pour les longues journées et longues heures sur la route. Le trajet aller-retour est d’environ 900 km.
- Partez avec un voyagiste de bonne réputation car il n’ya pas de panneau de signalisation, pas de signal dans le bassin de la mer d’Aral. Un véhicule bien entretenu est important. Il est essentiel de disposer de la climatisation en été et chauffage en hiver.
- Un guide qui connaît l’histoire du bassin de la mer d’Aral, les traditions du Khorezm et la culture du Karakalpakstan est essentiel.
- Les températures sont plus extrêmes que dans le reste de l’Ouzbékistan. Plus froid ou plus chaud – habillez-vous en conséquence. Les vents sont violents et s’ajoutent aux frissons de l’hiver. [amazon_link asins=’B0798GTR7C,235687139X,B00166QKSI,1786167808′ template=’ProductCarousel’ store=’ukzewanderi09-21′ marketplace=’FR’ link_id=’c248ad12-6470-41ff-b424-8f641cb779dc’]
Notre séjour était en partenariat avec Advantour. Merci pour l’opportunité formidable! Notre opinion est la nôtre et n’est pas affectée par cette connexion.
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mars 20, 2019 at 8 : 43 0000003
Très intéressant récit de voyage qui nous a fait découvrir une région chargée d’histoire.
février 19, 2020 at 5 : 26 0000002
Merci Michèle! Effectivement, une région du monde dont on ne parle pas souvent!